SCHUBERT « Symphonie n°8 » BRUCKNER « Symphonie n°9 » – 29 septembre 24 [OUVERTURES !]

VIVALDI STRAORDINARIO « Concerti con molti stromenti » – 28 septembre 24 [OUVERTURES !]
ELSA DREISIG SCHUMANN « Dichterliebe » 2 octobre 2024
Concert

SCHUBERT Symphonie n°8,
BRUCKNER Symphonie n°9

Les Siècles célèbrent le bicentenaire de Bruckner en rejouant sa célèbre Symphonie n°9 sur instruments historiques. Ils l’associent à un autre grand chef-d’œuvre du répertoire germanique : l’Inachevée de Schubert.

Plongée à Vienne, en Autriche, à environ 70 ans d’écart, ces deux monuments de la musique symphonique, tous deux laissés inachevés par leur créateur. D’un côté Schubert dont aucune hypothèse n’est réellement retenue pour expliquer les deux mouvements manquants : maladie, surcharge de travail ? De l’autre côté Bruckner, qui, malade et épuisé, ne put terminer son ultime symphonie. Les deux créations furent assurées post-mortem, les compositeurs n’ayant jamais eu l’occasion d’entendre leurs œuvres. Les Siècles abordent pour la première fois le compositeur sur les instruments historiques appropriés afin d’en proposer l’essence sonore originale.

Franz SCHUBERT (1797-1828)
Symphonie n°8 en si mineur D 759 inachevée

 Anton BRUCKNER (1824-1896)
Symphonie n°9 en ré mineur WAB 109

Sur instruments allemands classiques (Schubert) et instruments allemands et autrichiens de la fin du 19e siècle (Bruckner)

AVANT-CONCERT

Dimanche 28 septembre 2024 de 14h à 15h
Sur réservation uniquement

Les Siècles
Jakob LEHMANN, direction

Visuel Les Siècles © DR / Jakob Lehmann © Sercan Sevindik / Jakob Lehmann © Janko Duinker

Représentation :

TOURCOING, Théâtre municipal Raymond Devos

dimanche 29 septembre 2024 – 15h30

TARIF
GRATUIT (réservation conseillée)

Durée : env. 1h45

De Franz Schubert Symphonie n°8 à Anton Bruckner Symphonie n°9
Rencontre avec Grégory Guéant autour du concert.
Pour deux compositeurs ayant composé neuf symphonies officielles chacun, quel plaisir de pouvoir entendre réunies en un même concert les plus emblématiques parmi les dernières de leur répertoire ! A elles deux, ces symphonies signent presque l’alpha et l’oméga de la symphonie romantique germanique au XIXe siècle. Si Schubert est le plus proche de la pensée beethovénienne, Bruckner en est assurément l’une des expressions les plus démesurées. »

* Grégory Guéant, agrégé de musique, enseigne l’histoire de la musique, l’écriture, l’analyse et la composition au Département Arts-Musique et Musicologie à l’Université de Lille.

Réservation en ligne ou au 03 20 26 66 03

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